mardi 10 novembre 2009

20 ans après la chute du mur de Berlin, voici une liste d’autres murs existants toujours à travers le monde


Une Zone tampon sépare la Corée du Nord de celle du Sud depuis la fin de la Guerre de Corée, en 1953. Contrairement à son nom de « Zone coréenne démilitarisée », elle est très militarisée, puisqu’il s’agit d’une des principales concentrations d’armes au monde. Elle longe le 38e parallèle sur 248 km de long et 4 km de large.

Depuis 1974, la Turquie revendique une partie de l’île chypriote. Elle a tenu donc a délimiter ce territoire par une barrière. Il s’agit du drnier mur en europe.
Le mur entre le Mexique et les Etats-Unis, souhaité par Georges W. Bush est en construction. Celui-ci est censé protéger les Américains de l’émigration de Mexicains illégaux.
En 1993, l’Espagne de Javier Solana et de Moratinos a érigé une barrière électrifiée gardée par des soldats, aux enclaves de Ceuta et Melilla. Elle est censée protéger l’Espagne des travailleurs illégaux marocains et sub sahariens, qui tentent de rentrer sur son territoire.
En irlande les quartiers catholiques et protestants de Belfast sont séparé par des murs. Ils ont été édifiés en 1969 par l’armée britannique, au plus fort du conflit entre les deux communautés, et baptisés « Peace lines ».
Nommée « clôture de sécurité », la séparation de la Cisjordanie (palestinienne) du territoire israélien prend plutôt la forme d’un gigantesque mur de béton de sept mètres. Construit par les Israëliens à partir de 2002, il a officiellement pour but de freiner le terrorisme. Pour certains Palestiniens, il s’agit d’annexer des territoires palestiniens en empiétant sur la « Ligne verte » de séparation.

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