jeudi 28 juillet 2016

Une paella en soutien avec les salariés d'ECOPLA




En ce jeudi 28 juillet, les camarades de la section du PCF du Grésivaudan ont eu l’heureuse idée d’organiser une « paëlla » avec le salariés d’ECOPLA une soixantaine de personnes sont arrivés le sourire aux lèvres, les bises ont claqué et chacun a mis la main à la pâte pour peaufiner les derniers préparatifs.
Cette belle soirée a débuté par un copieux apéritif
Puis la paëlla d’ Antoinette et Benjamin est arrivée : inutile d’insister sur les adjectifs qui qualifieraient le produit de cet énorme travail fourni par, des courses à la préparation et à la cuisson, mais elle était magnifique et savoureuse à coup sûr la Paëlla !!!  Chacun semble s’être régalé dans une ambiance bon enfant, tout en se disant que le combat de nos collègues n’est pas terminée et que les communistes sont là dans leur combat.

mercredi 27 juillet 2016

Horreur face au lâche et abominable assassinat du prêtre de Saint Etienne de Rouvray

L'horreur a de nouveau frappé avec le lâche et abominable assassinat de Jacques Hamel, le prêtre de l'église de Saint Etienne du Rouvray. Nous adressons nos pensées  à la famille, à la communauté catholique, à la population de Saint Etienne du Rouvray, à son maire, Hubert Wulfranc. 

Face à cette nouvelle tragédie, notre pays est confronté à un immense défi : vaincre Daech, assurer une meilleure sécurité pour nos concitoyens dans un état de droit, faire grandir dans notre société, par l'intervention populaire et citoyenne, les valeurs de solidarité et de progrès pour tous. 

Un grand débat national s'impose pour décider de l'orientation des politiques publiques à mettre en œuvre. Que les polémiques cessent immédiatement pour laisser place au discernement, à la connaissance, à la compréhension.

Que les petits jeux politiciens et les surenchères irresponsables s'arrêtent pour un débat démocratique allant au fond des questions afin d

lundi 25 juillet 2016

Une procédure d'exception pour une loi d'exception

Les assauts de démagogie qui ont présidé aux débats sur la prolongation de l’état d’urgence ne peuvent dissimuler que les mesures décidées par le Parlement à l’initiative du gouvernement restreignent nos libertés, sans pour autant être un gage d’efficacité dans la lutte contre les actes de terrorisme.
La loi prorogeant pour une quatrième fois l’état d’urgence, qui va être adoptée cet après-midi, n’est pas seulement inutile, elle est dangereuse.
Elle est dangereuse parce qu’elle pérennise une situation d’exception, parce qu’elle laisse à la discrétion du gouvernement le droit de manifester et accroît les pouvoirs de la police au point de justifier de retenir un enfant pendant quatre heures et de saisir les données personnelles sans réel contrôle puisqu’une nouvelle fois, le juge judiciaire est écarté.
Mais cette loi est aussi une atteinte directe au processus démocratique. En y intégrant des modifications pérennes du Code pénal, les parlementaires et le gouvernement ont institué une nouvelle manière de légiférer, dans la précipitation et au mépris de toute règle démocratique. Bien entendu, comme on peut s’y attendre, cette négation des principes du débat parlementaire ne sera pas soumise à l’appréciation du Conseil constitutionnel.
La LDH condamne absolument une loi d’exception adoptée par une procédure d’exception.
Paris, le 21 juillet 2016

dimanche 24 juillet 2016

Mobilisation générale au PCF pour emmener 400 personnes à la mer

La statue de Jaurès domine la petite équipe. Comme un gardien des valeurs que ces militants communistes de Suresnes brandissent : depuis début juillet, le parti communiste organise une collecte de fonds dans plusieurs villes du département. Objectif, réunir de quoi affréter huit cars (à raison de 1 000 € par véhicule) afin d'emmener des familles en vacances, au Tréport, en Normandie, le 20 août.

« D'habitude des actions solidaires sont menées ville par ville mais cette année est particulière. Il fallait une opération d'envergure pour les 80 ans du Front populaire. Le but est de faire partir le plus de monde possible à la mer », insiste Elsa Faucillon, la patronne du PCF des Hauts-de-Seine. Et c'est là que la machine de guerre communiste démontre toute son efficacité. Des dizaines de militants ont investi les marchés et les places de Bagneux, Montrouge, Vanves, Suresnes et Issy-les-Moulineaux. « Il n'y a pas que dans les villes pauvres que des gens sont dans le besoin. On vise tout le monde », ajoute Elsa Faucillon.

Mardi place Jean-Jaurès à Suresnes un petit groupe avait déployé barnum, pile de tracts et affiche annonçant la fête de l'Huma, en septembre. « L'accès pour tous aux vacances comme à la culture, on le doit au Front populaire. Que des enfants ne partent pas en vacances est un scandale. C'est aussi pour cela qu'on se bat », martèle Marianne Valensi, du PCF 92. Place Jean-Jaurès, les passants qui refusent le tract sont rarissimes. « Nous sommes très actifs sur la ville. Les gens nous connaissent. On reçoit un bon accueil », commente Rodolphe Balensi, conseiller municipal PCF.

La participation idéale est de 15 €. « Ce n'est pas excessif, juge Nadira. J'ai pris plusieurs tracts que je vais distribuer à mes proches. » « C'est bien et pas bien à la fois », nuance Danielle qui se revendique malgré tout « de gauche » : « la cause est belle mais on demande trop aux gens... L'Etat se désengage de tout. » « Les villes aussi », tacle Rodolphe. « Suresnes a fermé son centre de vacances dans le Jura. La commune n'est plus actrice du tourisme social », dénonce le jeune élu.

Une femme s'arrête devant le barnum. « C'est que pour les familles, pas pour les retraités, interroge-t-elle. Donner pour que des enfants aient des vacances est normal. Mais attention, hein, je ne suis pas communiste ! » Un peu plus tard, Honorine s'attarde longuement et détaille le tract. « J'ai la chance de travailler, précise d'emblée cette mère de deux petits. Alors oui je suis prête à donner un coup de pouce à d'autres. Quand j'étais au chômage, dans le besoin, j'aurais aimé qu'on m'aide à aller à la mer avec mes enfants. »

vendredi 22 juillet 2016

Les ECOPLA en action






Les salariés de ECOPLA plus des militants du PCF, du FG, et de la CGT sur le rond point du Touvet ce matin à la première heure



mercredi 20 juillet 2016

Troisième 49.3 pour une adoption aux « forceps » !



Après un retour express au sénat le 19 juillet, le projet est de retour à l’assemblée pour clôturer un processus parlementaire sans débat. Sans surprise, le premier ministre vient d’annoncer le recours pour la troisième fois au 49.3.
Sondages après sondages, le rejet de cette loi régressive est massif et sans appel.
Dernier en date, le sondage Odoxa-FTI paru le 18 juillet, relève que 7 français sur 10 sont « mécontents de l’adoption définitive du projet de loi travail » et plus de la moitié d’entre eux « souhaite que les manifestations contre le texte se poursuivent ».
Dès le début le gouvernement a fait le choix de ne pas tenir compte des réelles attentes et besoins des salarié-es, et plus globalement de l’intérêt général.
Faisant fausse route dès le départ, il n’a eu de cesse de refuser le dialogue avec les organisations syndicales opposées au texte, ou encore de débattre avec les représentants élus de l’assemblée nationale.
Ce gouvernement n’a pas plus écouté celles et ceux qui se sont mobilisés, exprimés contre ce projet. Manifestations, grèves, blocages, pétitions, votations citoyennes, ont été menés et organisés de manière exemplaire, avec détermination et dans un objectif constructif.
Opposés à cette réforme régressive mais favorables à un réel projet social, un code du travail du XXIème siècle, la CGT continuera à mener cette bataille autant légitime que nécessaire.
Le gouvernement a perdu la bataille idéologique, a perdu tout crédit vis-à-vis de la population, et de surcroit à entamer les valeurs de notre République.
Notre responsabilité est bien de continuer à rassembler, à organiser, à impulser toute la force nécessaire pour en finir avec les régressions sociales et pour gagner de nouveaux droits.
C’est ce à quoi s’emploiera la CGT durant tout l’été en allant à la rencontre des salarié-e-s comme des vacancier-e-s et en proposant l’envoi au président de la République de cartes postales pour lui assurer qu’ils seront toujours mobilisés à la rentrée.
Rendez-vous le 15 septembre, pour la journée d’action interprofessionnelle décidée par l’intersyndicale.
Montreuil, le 20 juillet 2016

Lettre de PIERRE LAURENT aux salaries de ECOPLA SCOP


lundi 18 juillet 2016

Communiqué de la Fédération de l'Isère du Parti communiste français ECOPLA


La logique humaine doit primer sur la logique financière.
Ce lundi 18 juillet, au tribunal de commerce de Grenoble, se tenait l'audience du recours en tierce opposition, opéré par l'association des amis d'Ecopla et des salarié-e-s de l'entreprise. Ils s'opposaient à la décision de refuser la reprise en SCOP de cette entreprise située à Saint-Vincent-de-Mercuze.
...
De nombreux salarié-e-s, élu-e-s locaux, syndicalistes et citoyen-ne-s étaient venu-e-s apporter leur soutien. Parmi eux, Annie David, sénatrice communiste de l'Isère, Roger Cohard, Maire du Chelyas, Joël Marseille, 1er Adjoint de Tencin étaient présents. Devant l'affluence, le juge a du tenir audience dans une salle plus grande.
Pour rappel, le jeudi 16 juin 2016, le tribunal de commerce de Grenoble a rendu son jugement : les machines et outillages qui font la valeur de l’entreprise Ecopla, dernier fabricant français de barquettes aluminium et leader sur ce marché, sont vendues à un groupe italien qui est son concurrent direct. Ce groupe n'envisage en aucun cas la poursuite de l'activité dans le Grésivaudan. C’est cette décision qui était attaquée aujourd'hui par les salarié-e-s. Ceux-ci avaient fait une offre de reprise en SCOP, prenant en compte la reprise de l'activité sur site, préservant l'emploi et le savoir-faire local.
A l'écoute des plaidoiries, on s'est aperçu que deux mondes s'opposaient. Alors que l'avocat des salariés et de l'association des ami-e-s d'Ecopla défendait une vision globale de ce dossier, prenant notamment en compte les coût sociaux et économiques pour ce bassin d'emploi, les représentants de l'entreprise italienne, mais hélas aussi, ceux des mandataires de la liquidation, ont opposé des visions purement comptables et financières.
Le président a mis son jugement en délibéré à fin août ou début septembre. D'ici là, nous continuons à soutenir sans faille la lutte des salarié-e-s d'Ecopla, et au-delà, de tout un bassin industriel, riche d'un savoir-faire irremplaçable.
Assez de paroles, des actes ! Les pouvoirs publics doivent agir pour l'emploi et non pour la finance !
Comme le dit le slogan des salariés d'Ecopla en lutte :
« Notre ami, c'est l'emploi, Ecopla Scop vivra ! »
Fait à Grenoble, le 18 juillet 2016

Les ex-salariés d'ECOPLA devront attendre septembre pour l'ultime décision du Tribunal de Commerce de Grenoble


Déception ce 18 juillet au Tribunal de Commerce de Grenoble. Les 25 ex-salariés d'ECOPLA, toujours candidats à la reprise de leur usine de St-Vincent-de-Mercuze en Isère, attendaient très impatiemment cette ultime décision judiciaire. Mais le Tribunal a mis en délibéré début septembre. Et, à cette date lointaine, il pourrait ne se prononcer que sur la recevabilité de leur recours.

Les ex-salariés auraient réuni 5 établissements financiers autour de leur projet de SCOP, rassemblant des ressources mobilisables à hauteur de plus de 2 millions d'euros. Et proposent de sauvegarder 20 emplois sur les 77 que comptait l'entreprise. Avec pour objectif d'en créer au moins 20 de plus d'ici 3 ans.

Mais le 17 juin dernier, le Tribunal de Commerce de Grenoble leur a préféré une société italienne, Cuki Cofresco. Elle a mis 1,5 million d'euros sur la table pour racheter les machines. Les ex-salariés seulement 100.000 euros. Même si Cuki subit depuis 5 ans un Plan de Sauvegarde de l'Emploi, et n'a versé que 150.000 euros de garantie, le Tribunal a privilégié le remboursement des créanciers sur la défense de l'emploi. 

Le Parquet n'a pas fait appel de cette décision. Les ex-salariés ont donc du recourir à une formule judiciaire plutôt rare, la "tierce opposition". C'est ce recours "de la dernière chance" qu'examinera le Tribunal d'ici septembre.

Ils surveillent leur outil de travail 24 heures sur 24, craignant que le nouveau propriétaire italien ne s'en empare. 

vendredi 15 juillet 2016

Attentat de Nice : "Ensemble nous ferons reculer les violences aveugles, les haines, la peur"

Notre pays tout entier vit des heures douloureuses après le massacre de 84 femmes, hommes et enfants perpétré à Nice par un homme au volant d'un semi-remorque lancé en trombe sur la Promenade des Anglais alors que tant de familles, de jeunes, d'enfants des quartiers populaires et de toute la ville, des touristes, étaient venus fêter ensemble la Fête de la Fraternité, notre fête nationale. Notre nation endeuillée, profondément choquée, est saisie d'effroi et de chagrin. La solidarité des habitant-e-s de Nice et des environs, la réactivité des forces de l'ordre et des services de secours sont remarquables : aucun d'entre nous n'est prêt à céder à la peur ni à la haine.
Je veux m'incliner devant la mémoire des disparu-e-s, présenter à leurs familles et amis les condoléances du Parti communiste français, et les assurer de notre soutien, de celui de nos élus et de nos militants. Mes pensées se tournent vers les 18 blessés qui sont encore dans un état d'extrême gravité et les dizaines de blessés qui ont été atteints en souhaitant que leur vie soit sauvée, et leur dire que nous sommes tous à leurs côtés dans cette épreuve aussi tragique que profondément injuste. Comme tous nos concitoyens et tou-te-s celles et ceux qui ont choisi la France pour y vivre, j'ai le coeur brisé par cette abomination. Il n'y a aucune justification, et encore moins de fatalité, aux meurtres de masse quels qu'en soient les motivations et mobiles.
L'heure n'est pas aux polémiques politiciennes stériles mais à l'enquête et à l'aide aux victimes, à la solidarité et la fraternité.
Le Parti communiste français et ses militants seront vigilants et mobilisés pour qu'à Nice comme partout en France, la solidarité avec les victimes et leurs familles et le soutien dont les habitant-e-s de Nice et des Alpes Maritimes ont besoin soient sans faille.
C'est dans le rassemblement des femmes et hommes de paix de notre pays qu'ensemble nous ferons reculer les violences aveugles, les haines, la peur.

jeudi 14 juillet 2016

Les Communistes en soutien à ECOPLA-SCOP

























Jeudi 14 juillet dès 10h, les Communistes PCF du Grésivaudan étaient présents sur le marchés de Pontcharra pour soutenir autant que nécessaire les salariés(es) de la société ECOPLA-SCOP et ils seront sur le marché du Touvet samedi et dimanche sur celui de Crolles.





mardi 12 juillet 2016

Ecopla, l’incompréhensible blocage d’une reprise en Scop

Des salariés du dernier fabricant français de barquettes alimentaires en aluminium ont proposé de reprendre l’activité en coopérative. Malgré un dossier solide, le tribunal de commerce de Grenoble a préféré céder l’entreprise à l’un de ses concurrents, envoyant les emplois à la casse.

Chez Ecopla, dernier fabricant français de barquettes en aluminium pour l’alimentaire, tout est prêt pour que l’activité redémarre. De grandes marques de l’agroalimentaire n’attendent plus que la remise en fonctionnement des chaînes de production pour leurs plats préparés, surgelés ou viennoiseries. Un seul coup de fil, et les matières premières sont livrées. Six tonnes de métal attendent chez un fournisseur normand lui-même en difficulté. Un signal positif et les vingt-cinq salariés, candidats repreneurs de l’usine de Saint-Vincent-de-Mercuze (Isère), exercent leurs savoir-faire uniques. Les statuts de leur société coopérative et participative (Scop) sont couchés depuis longtemps sur le papier. De même que son tour de table bouclé en deux mois top chrono et soutenu par cinq établissements financiers. Un nouvel investisseur vient de s’engager à ajouter 150 000 euros. Toutes les villes et la communauté de communes du territoire, tous les élus du cru sont sur le pont pour soutenir le redémarrage de la production. Tout est prêt donc pour que l’un des derniers sites industriels du Grésivaudan, entre Grenoble et Chambéry, reparte de plus belle avec l’objectif de créer trente postes supplémentaires en trois ans.

La décision judiciaire face à la mobilisation
Pourtant, les machines-outils peuvent être saisies du jour au lendemain et les salariés envoyés définitivement à Pôle emploi. Ecopla est suspendu au bon, ou plutôt au mauvais, vouloir du tribunal de commerce de Grenoble. Pour l’heure, et malgré la mobilisation des salariés et de toute une région qui a fait bouger jusqu’au ministère de l’Économie, les juges en place n’ont pas cillé depuis leur décision du 16 juin dernier. À l’offre de reprise des salariés – 100 000 euros pour les machines en plus de la vingtaine d’emplois sauvegardés sur soixante-dix-sept et de la centaine d’emplois induits conservés dans la filière aluminium et les services – le tribunal a préféré celle du concurrent italien direct, Cuki Cofresco. Soit 1,5 million d’euros pour reprendre les machines-outils et solder le reste. Ce million et demi ne tombe pas du ciel. Il représente exactement le coût de la fermeture et des licenciements pour le régime de garantie des salaires (AGS). Pour l’entreprise transalpine, elle-même en difficulté, c’est tout bénéfice. Elle tue un concurrent en lui siphonnant son savoir-faire et ses clients. La décision judiciaire peut être exécutée à tout moment. Or, jusqu’à présent, Cuki Cofresco n’a dû débourser qu’une garantie de 150 000 euros.
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Notre ami c'est l'emploi....Ecopla-scop vivra !

Ils ne lâchent rien : salariés d’ « Ecopla » et militants (*) étaient sur les ponts, tôt ce matin, pour déployer leur colère et exprimer leur volonté de maintenir leurs emplois dans le Grésivaudan.

Le projet de reprise de l’entreprise par les salariés, « Ecoplascop », refusé par le tribunal de commerce en juin, n’est pas enterré, loin s’en faut.


Pour preuve cette manifestation pour informer les usagers, nombreux à utiliser l’autoroute à cette heure matinale pour se rendre à leur travail, et qui n’ont pas manqué de soutenir leurs camarades par un concert de klaxons.


Son ennemi c’est la finance, disait-il…..et bien notre ami c’est l’emploi !! répondent les salariés en lutte pour préserver et développer leur outil de travail.

(*)Des militants de la CGT, de la section PCF, du Front de Gauche et du NPA étaient présents.

samedi 9 juillet 2016

Les Communistes en soutien aux salariés d' ECOPLA




Unique fabriquant français de barquettes aluminium, en France, les salariés s’opposent à cette volonté patronale de bradage de suppression emplois ils refusent le chômage, la précarité et la misère. Ils se sont engagés dans la construction d’une solution alternative qui a reçu le soutien de l’ensemble des collectivités territoriales, de très nombreux élus, de la population. Ils veulent que la production restent à St Vincent de Mercuse,
C’est pourquoi la section PCF a tenu un comité de section sur le site d’ECOPLA afin de les soutenir dans leur actions et leur lutte pour l’emploi et leur développement.
Tenez bon camarades, ensemble et déterminés, nous gagnerez et ECOPLA vivra.